mercredi 28 avril 2021



En matière de sexualité, de nombreuses réponses restent mystérieuses. Parmi elles : « Pourquoi les femmes n’aiment pas la sodomie ? » Si certaines refusent mordicus cette pratique, c’est parce qu’il existe des raisons physiques et…psychologiques. Découvrez les analyses scientifiques concernant la pénétration anale.
Si certaines femmes préfèrent le sexe anal à la pénétration vaginale, la grande majorité a du mal à parler de la sodomie. Une étude s’est penchée sur la question pour relater les grandes appréhensions concernant cette pratique.

Une étude menée sur 33 femmes

Menée par la chercheuse universitaire Kimberly McBride, cette étude de taille modeste parue dans le Journal of Sex Research analyse ce que pensent les femmes de la sodomie. Relayée par Terra Femina, elle concerne 33 femmes américaines avec qui la chercheuse a discuté de cette pratique sexuelle et de nombreuses pistes. Si beaucoup ont parlé de facteurs tels que la douleur ou de l’hygiène, d’autres réponses découlaient beaucoup plus de la dimension psychologique. En effet, chaque sexualité est différente et propre à chacun. Il existe d’ailleurs 10 choses pour lesquelles vous ne devez pas vous excuser pendant l’amour.


Un sujet qui reste tabou 
La sodomie est stigmatisée

Si toutes les femmes interrogées se sont accordées à dire une chose au cours de cette étude, c’est qu’il est difficile d’assumer la pratique de la sodomie. Une femme de 27 ans anonyme questionnée déclare : « Je pense que c’est quelque chose que beaucoup de monde essaie mais personne n’en parle vraiment » L’étude analyse que le plaisir limité lié à la pénétration anale découle de sa stigmatisation. Une femme étaie ce phénomène avec un exemple : « Si un homme évoque le sujet, tout le monde va lui dire que c’est génial alors que si une fille lui dit qu’elle l’a déjà fait, elle va être traitée de fille facile » Un deux-poids-deux-mesures qui impacte forcément le plaisir.
« Ce n’est pas pour mon plaisir mais pour le sien »

La majorité des participantes ont aussi révélé que cette pratique a été sous l’initiative de leur conjoint. Une des femmes raconte que « les hommes aiment presque tous ça ». « Pour moi, je ne l’ai pas fait parce que je le voulais mais parce qu’il me l’avait demandé. A partir de là, c’est juste quelque chose que tu fais, ce n’est pas pour mon plaisir mais pour le sien » Autre facteur qui participe au déplaisir lié à la sodomie : vouloir garder son partenaire. Cette crainte a souvent été évoquée lors de cette étude qualitative basée sur 33 Américaines. « Ces femmes vont faire ce qu’elles pensent devoir faire pour garder leur petit ami. S’il veut pratiquer la sodomie, elles le feront » déplore une jeune femme. Alors qu’il est complexe d’essayer de nouvelles pratiques à un jeune âge, la quarantaine serait l’apogée de la sexualité.


Une réticence physique et psychologique 
 
Des facteurs physiques pèsent sur la réticence à la sodomie

Alors que l’on pense que les femmes sont opposées au sexe anal, il existe une nuance. Elles appréhendent plutôt cette pratique. La raison ? La crainte que l’anus ne soit pas hygiénique. Autre cause de réticence, la douleur potentiellement engendrée par cette pénétration. Et pour cause, cette partie du corps ne s’auto-lubrifie pas et peut causer de l’inconfort. Le stress lié à cet acte pour la première fois participe également à ce côté désagréable. Les femmes interrogées dans cette étude en ont témoigné. « C’est terrible. J’ai essayé plein de trucs mais ça, vraiment, non » confesse l’une d’elles. Une autre ajoute : « Après un temps, on s’habitue et la douleur devient du plaisir »
 
Il est important de se relaxer pour préparer cet acte

A la question : « Comment faire pour que la sodomie soit agréable ? », les femmes ont répondu chacune leur tour. Elles ont, pour la grande majorité, recommandé de se détendre mais aussi de s’attarder sur les préliminaires. Et pour cause, cela participe à la détente qui fait partie des facteurs de réussite de cette pratique. Un partenaire à l’écoute est également l’une des clés majeures de la réussite de cette dernière. Il devra communiquer avec sa partenaire pour que le plaisir soit partagé. Alors que la sodomie est encore l’objet d’un tabou lié au jugement, cette pratique est au contraire pour certaines l’apogée du plaisir ou au moins un sujet de curiosité. 

La sensation d’interdit provoque l’excitation

Toutes les femmes interrogées s’accordaient à dire qu’elles appréhendaient cet acte. Seulement, l’idée du plaisir lié à ce dernier n’est pas totalement étrangère. Une des 33 femmes interrogées a une amie qui apprécie cette pénétration profonde. « Quand mon amie a essayé, elle a aimé presque immédiatement. C’était différent et nouveau » raconte-t-elle. Parmi les autres femmes interrogées, d’autres ont commencé à explorer cette piste. Une d’entre elles raconte qu’elle aime que son partenaire stimule son anus pendant la pénétration. « C’est une sensation très agréable » conclut-elle. 

De nombreuses idées reçues perdurent autour du sexe anal et la majorité sont fausses. Parmi elles : celle selon laquelle nous n’avons pas besoin d’utiliser un préservatif pendant cette pénétration.


Alors que certaines femmes jouissent par stimulation du clitoris, d’autres atteignent le septième ciel lors d’une stimulation du point G. Découvrez cette zone qui n’est en rien un mythe et se trouve à un endroit précis du vagin.

La libido et le plaisir sexuel ne sont pas les seuls garants de l’orgasme. Savoir s’y prendre lors d’un rapport sexuel est essentiel pour faire jouir. Et pour cause, la connaissance du point G est un aspect capital de la sexualité féminine puisque la stimulation de ce dernier provoque un plaisir intense. 

La population de femmes qui atteint l’orgasme lors de la pénétration est rare

Si l’on pense à tort que l’orgasme est synonyme de pénétration, il en est tout autre. Cette étude prouve que seulement 18% des femmes jouissent grâce à cette dernière.  Les autres ont besoin qu’une zone érogène soit stimulée, dont le clitoris, rempli de terminaisons nerveuses, qui provoque un orgasme clitoridien. A cet effet, des caresses sont indispensables pour le stimuler

Pour autant, que celles qui ne jouissent pas pendant le rapport sexuel se rassurent car cela ne signifie pas que vous souffrez d’anorgasmie. Votre point-g n’a peut-être pas encore été découvert par votre partenaire. Une fois que cela sera fait, votre vie sexuelle sera nettement plus riche. Le point G n’est pas seulement une affaire de femmes, les hommes sont également concernés ! Dans ce sens, une éducation sexuelle quant à l’anatomie féminine ou masculine est tout indiquée.

Où se trouve le point G ? – Source:  Women’s health

Qu’est-ce que le point G?

Le point G doit son nom à Ernst Grafenberg, le scientifique qui a repéré cette zone située dans le vagin. Le docteur Beverly Whipple l’a démocratisé au public lorsqu’elle a découvert que le mouvement de crochet avec les doigts sur cette zone permettait d’avoir un orgasme et de vivre de purs moments d’extase. Pourtant, certains chercheurs restent sceptiques face à l’idée de ce point providentiel. Ce dernier serait simplement une prolongation du clitoris qui amène à croire que cet organe dédié au plaisir est bien plus long qu’on ne l’imagine. La petite excroissance au-dessus des petites lèvres n’est en fait que le gland de ce chapitre important de la jouissance féminine.  

À savoir que la stimulation du point G peut même faire éjaculer une femme pendant l’acte sexuel ou une pénétration digitale [ndlr : femmes fontaines]. Pendant cet orgasme, un éjaculat est sécrété, caractérisé par des contractions de la vulve. Pour encore plus de plaisir, les femmes peuvent augmenter la sensation de lâcher prise en découvrant leur corps avec des sextoys, un stimulateur clitoridien ou un vibrateur. En outre, la stimulation de cette zone peut déclencher une explosion de sensation chez la majorité.

Trouver le point G demande de l’exploration – Source : Cottonbro

Comment peut-on trouver le point G ?

Faire jouir une femme pendant le coït implique de connaître le point G, une zone orgasmique à ne pas ignorer. D’autant plus qu’un orgasme vaginal nécessite une bonne connaissance des organes génitaux féminins. Orienter le pénis vers la face antérieure du vagin est le meilleur moyen d’y accéder. La verbalisation des fantasmes stimule également le désir et l’excitation. Pour que les femmes l’apprivoisent, il s’agit d’abord de se détendre pour ne pas se contracter. Vous pouvez commencer à masser l’entrée du vagin avant d’insérer les doigts et prendre pleinement conscience des réactions que chaque zone provoque. Une fois que vous l’avez trouvé, concentrez-vous sur cette sensation d’excitation. Généralement, cet endroit est de consistance granuleuse. 

Lors d’une grande pénétration, le point G peut également être atteint. Le frottement de ce point le plus sensible est possible en ayant accès aux parois antérieures du vagin. Pour bien faire l’amour, il est important de connaître ces informations physiologiques pour mieux comprendre le sexe des femmes. En outre, ce plaisir d’explorer est un comportement sexuel indiqué pour être un amant parfait. 

Atteindre l’orgasme grâce à cette stimulation – Source : Health Magazine

Chaque femme a une façon particulière d’atteindre l’orgasme

Cette étude prouve que les orgasmes féminins ne sont pas universels et qu’ils sont spécifiques à chacune. Certaines femmes trouvent du plaisir lors d’une stimulation vaginale ou d’un éveil sensoriel de ce fameux point. Apporter du plaisir sexuellement passe aussi par les préliminaires qui font monter l’excitation. Saviez-vous que pendant ce moment intime vous sécrétiez de l’ocytocine, l’hormone de l’attachement décuplée par le plaisir physique ?  S’exprimer sur ses plaisirs sexuels est important pour mieux guider son partenaire vers cet orgasme particulier. Les femmes qui jouissent souvent adoptent généralement ces habitudes.

Il est important de communiquer avec sa partenaire

Ressentir le plaisir féminin qui caractérise l’orgasme en lien avec la stimulation du point G implique des contacts intenses avec la face antérieure du vagin. C’est pour cette raison qu’il existe des positions tout indiquées avec un mouvement de va-et-vient qui provoque cette jouissance physique particulière. Demandez à votre partenaire quels angles de pénétration elle préfère pour cerner le plaisir ressenti à ce moment. L’aider à se masturber peut aussi être une manière de comprendre quelles sont les zones les plus sensibles. Être capable de jouir implique d’oser expérimenter les fantasmes sans aucun tabou car la sexualité a une dimension psychologique. Au-delà de ces recommandations, des positions peuvent aussi être plus intéressantes concernant l’atteinte du point G.

Positions sexuelles idéales – Source : Bustle

Quelles sont les positions idéales pour toucher le point G ?

La position de l’Andromaque est la plus recommandée pour cette stimulation. Et pour cause, elle permet de contrôler le rythme, la profondeur et l’angle de la pénétration. La partenaire pourra guider l’autre sans penser à obtenir un orgasme mais uniquement pour le plaisir. Cette position est animale et passionnée. La femme devra se déplacer d’avant en arrière pour toucher sa paroi vaginale interne. Bonus : elle permet d’avoir un contact visuel érotique. La levrette est un autre excellent moyen d’obtenir une pénétration plus profonde pendant les rapports sexuels. Il est alors plus facile de faire varier l’angle pour toucher votre point G. Pour plus de plaisir, vous pouvez caresser le clitoris pour atteindre simultanément un orgasme clitoridien et vaginal. Pour commencer, la femme devra être à quatre pattes et l’homme sera derrière pour la pénétrer. La position peut aussi être réalisée allongée sur le ventre, les jambes au bord du lit. Cette variante du missionnaire, à l’instar de la levrette, permet une pénétration moins profonde mais avec un meilleur angle. Pour la réaliser, la femme devra être allongée sur le dos et enrouler ses jambes autour de son partenaire. Cela permet un contact plus intime et une sensation plus serrée qui provoque un frottement plus important sur le point G. 

Chaque femme a sa propre manière de jouir

La sexualité des femmes n’est pas une science exacte. Atteindre le plaisir ultime est le fruit d’expériences sur soi mais aussi avec le partenaire. Il est important de combattre les idées reçues qui poussent à catégoriser sa manière de jouir comme vaginale ou clitoridienne. De nombreuses femmes peuvent se rendre compte sur le tard qu’elles peuvent éjaculer par exemple. Un bon partenaire doit savoir comment exciter une femme en stimulant ses zones érogènes comme par exemple les cuisses, le pubis ou les fesses. Lors de l’excitation, un afflux sanguin opère pour atteindre un point culminant qui est une explosion des sens.

Quels sont les différents troubles sexuels ?

Parfois, la libido n’est pas au rendez-vous et même la stimulation du point G peut être inutile pendant les ébats ! En cas d’absence de plaisir, il est possible que les hormones soient en cause et dans ce cas, la consultation chez un gynécologue pourra être de rigueur. Un manque de lubrification peut être une cause anatomique qui fait que la femme a une douleur pendant les relations sexuelles. Par ailleurs, la sécheresse vaginale peut être causée par un manque de rapports. Une difficulté entre les partenaires peut également amener à devoir demander des conseils de sexologues pour une plus grande satisfaction sexuelle.

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10 erreurs courantes que les gens commettent pendant les rapports sexuels

Une sexualité épanouie est la pierre angulaire du couple. Souvent, des rapports satisfaisants améliorent la complicité et l’alchimie entre les deux partenaires mais sont également bons pour la santé. Le sexe est une habitude salutaire pour prévenir le risque de maladies cardio-vasculaires, lutter contre le stress mais également favoriser l’endormissement. Autant de raisons de s’abandonner plus souvent aux délices d’Eros. Seulement, si la pression de performance existe, il est également essentiel d’adopter de bonnes attitudes pendant les rapports. Voici les 10 erreurs que les gens commettent au lit. Certaines habitudes peuvent être néfastes pour l’épanouissement des partenaires.

La vie sexuelle peut conditionner les échanges au sein du couple. Un désir mutuel entre les deux partenaires favorise à la fois la communication et le rapport au corps. Seulement, certains diktats peuvent entraver la qualité des rapports et mener à une insatisfaction chronique. Découvrez les 10 fautes que nous pouvons commettre pendant le sexe.

1- Simuler
Quand vous feignez des orgasmes, vous entretenez un mensonge qui empêche votre partenaire de vous satisfaire. Cette attitude peut le conforter dans l’idée qu’il vous procure de la satisfaction sexuelle. Pour atteindre le plaisir, essayez de le guider plutôt que de simuler. La qualité de vos rapports n’en sera que meilleure.

2- Vous verbalisez en excès
Des mots coquins pendant l’amour peuvent être un moteur d’excitation. Toutefois, une propension à trop parler peut rapidement amenuiser le désir et le mystère. En verbalisant tout ce que vous pensez, votre partenaire pourra être déconcentré et cela pourra affecter l’alchimie. Le tout est d’user de votre parole avec parcimonie pour faire de cet instant un moment inoubliable !

3- Vous êtes pensif
Quand vous êtes préoccupé par autre chose que le plaisir de votre partenaire, cela se voit. Veillez à dédier exclusivement ce moment à l’excitation mutuelle que vous ressentez. Soyez absolument présent à cet instant. Si vous vous montrez hagard et distant, votre partenaire pourra imaginer que vous n’êtes pas réceptif à ses caresses.

4- Vous laissez votre partenaire prendre les rênes
Laisser votre partenaire prendre l’ascendant peut être excitant dans la mesure où cela est ponctuel. A l’inverse, si cette attitude est permanente, cela pourra provoquer une lassitude et créer un sentiment de non-réciprocité. Tentez de temps à autre de prendre les devants et de montrer à votre partenaire que vous pouvez être entreprenant.

5- Une mauvaise hygiène intime
Ne pas prendre le temps de prendre soin de soi peut être un véritable tue-l ’amour ! Consacrez quelques minutes à vous laver, à vous parfumer et à faire de ce moment un instant de réelle complicité. En faisant l’impasse sur ce geste indispensable, vous pouvez anéantir le désir que votre partenaire a pour vous.

6- Vous n’êtes pas spontané
Vos rapports sexuels peuvent devenir routiniers et à terme, cela peut vite lasser votre partenaire. Tentez de sortir des sentiers battus et de vous aventurer plus souvent dans l’accomplissement de vos fantasmes. Cette attitude augmentera le désir et vous poussera à exprimer plus facilement vos attentes.

7- Vous refusez de sortir de votre zone de confort
En refusant d’expérimenter, vous confortez votre partenaire dans l’idée que votre intimité restera sans couleurs. Il est important de discuter autour de vos désirs et de ce qui pourrait être amélioré. Des caresses routinières peuvent éteindre l’excitation.

8- Vous êtes perfectionniste
La volonté que tout soit parfait peut amenuiser le naturel et la spontanéité entre les partenaires. Accordez-vous le droit de vous tromper car une sexualité satisfaisante résulte d’échanges et d’ajustements. Un moment de plaisir doit être associée à un état de lâcher-prise total à votre désir.

9- Vous attendez que votre partenaire lise dans vos pensées
Il arrive que certaines personnes s’enlisent dans une spirale de frustration parce qu’elles attendent que leur partenaire sache exactement ce qu’il faut faire pour qu’elles atteignent l’orgasme. Pourtant, une sexualité épanouie résulte d’échanges et d’une communication transparente. Ne soyez pas ambigu quant à vos désirs. Si vous souhaitez améliorer votre vie sexuelle, soyez communicatif avec votre langage non verbal.

10- Vous parlez de vos anciens partenaires
Ces conversations sur l’oreiller n’ont pas lieu d’être car elles risquent d’amenuiser le désir. Chaque relation sexuelle est spéciale et le meilleur moyen de stimuler le désir est d’arrêter de comparer. Votre partenaire n’a pas besoin de connaitre vos exploits et vos conquêtes. Au contraire, valorisez-le et montrez-lui à quel point il est unique à vos yeux.


C’est une question qui interpelle un bon nombre de personnes. Si les relations sexuelles ne sont pas vitales, il existe une durée scientifique que l’homme ne peut pas dépasser pour faire l’amour. Découvrez ce sondage qui précise son temps d’abstinence en Europe.

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Il arrive qu’en couple il y’ait des périodes où faire l’amour n’est pas fréquent. Qu’il s’agisse d’un trouble sexuel, d’un manque d’excitation ou d’une panne de libido ponctuelle, cette disette peut varier selon le sexe avant d’atteindre un seuil maximal de tolérance.

Un sondage se penche sur cette question

Lorsque le manque de rapports est de la partie, il est délicat de demander aux autres quelle est la durée d’abstinence « normale ». Cette dernière diffère selon le sexe. Avoir un rapport sexuel régulièrement est une habitude qui dépend de plusieurs facteurs tels que l’excitation ou simplement l’envie sexuelle. Pour les femmes, elle met plus de temps à s’enclencher que les hommes. 

Par ailleurs, selon  un sondage réalisé par Superdrug et après avoir mené l’enquête sur 1500 Européens et Américains, les chercheurs sont arrivés à la conclusion suivante. Les hommes européens tiennent deux semainesLes Américains quant à eux peuvent se priver un mois avant de céder à l’acte sexuel. La qualité de ce dernier dépend en outre des habitudes de couple

Un manque de sexe est-il dangereux ?

Revus par le docteur Valinda Riggins Nwadiki, le manque de rapports sexuels n’a pas d’impact négatif sur la santé. Malgré tout, une sexualité régulière permet d’observer de nombreux bienfaits. Parmi eux, un meilleur système immunitaire, une réduction de la pression artérielle, moins de stress et une protection de la santé cardiovasculaire. Des arguments convaincants pour jouir plus souvent ! Cette étude prouve même qu’éjaculer 21 fois par mois permet de bénéficier d’un risque plus faible de cancer de la prostate. Cette maladie dangereuse se caractérise par ces symptômes.

Pourquoi cette difficulté à avoir des rapports sexuels réguliers ?

Seulement, des problèmes sexuels peuvent mettre de l’ombre au tableau. C’est pour cette raison qu’il est important de résoudre ce manque de désir qui peut être causé par des troubles de la libido, des troubles érectiles aussi appelés panne sexuelle ou la crainte liée à la performance sexuelle. Lorsque cela pose un problème au couple, le recours à l’aide de spécialistes tels que les sexologues peut être grandement utile lorsqu’ils proposent une sexothérapie. Ce désir de soigner les causes du problème a non seulement des bienfaits physiologiques mais permet aussi de retrouver une sexualité épanouie. Il s’agit d’augmenter sa libido pour empêcher la perte de désir qui peut être délétère et créer une insatisfaction sexuelle. Pour les hommes, les troubles du désir peuvent amenuiser la confiance en soi.

Quels sont les différents troubles sexuels ?

Malgré une forte excitation, l’impuissance peut être une véritable entrave à l’épanouissement du couple car cela risque d’empêcher toute pénétration. Les troubles érectiles peuvent également être dus à un déclencheur hormonal tel que la sécrétion de testostérone.  Des traitements médicamenteux tels que les antidépresseurs qui peuvent mettre à mal la fonction sexuelle. Cela peut également constituer un complexe pour l’homme qui se met à douter de sa virilité. L’éjaculation prématurée qui se manifeste par une sécrétion précoce du sperme, et le priapisme, qui est caractérisé par une érection constante peut nécessiter l’intervention d’un urologue. Le contrôle de l’éjaculation peut parfois être difficile et provenir d’origines psychologiques comme l’anxiété. Des facteurs neurologiques peuvent directement impacter la santé sexuelle. Une anomalie de l’urètre peut aussi générer des difficultés sexuelles. 

Comment améliorer sa libido ?

S’il est important de résoudre sérieusement ce problème, c’est parce qu’en couple il peut être un point de non retour et inscrire l’absence d’envie sur la durée. Pour augmenter la libido, des remèdes naturels peuvent aider. Parmi eux, le gingembre, le chocolat et l’avocat. Se libérer de l’anxiété est une bonne démarche pour retrouver une sexualité satisfaisante. Prendre du temps pour les préliminaires est aussi une habitude qui augmente le plaisir. Discuter de ces fantasmes avec son conjoint permet aussi d’exprimer son désir et ainsi d’améliorer le plaisir sexuel. Des rapports intimes complices peuvent impliquer une masturbation mutuelle pour mieux connaître le corps de l’autre et l’amener vers l’orgasme. 

Les femmes peuvent aussi souffrir d’une baisse de la libido 

Alors que l’homme peut effectivement avoir une libido en berne ou avoir des dysfonctions organiques, des troubles sexuels peuvent survenir également chez la femme.  Les troubles de la lubrification, le vaginisme, la sécheresse vaginale et les bouleversements hormonaux dus à la ménopause peuvent impacter la santé du vagin. La prise de la pilule peut avoir un effet inhibiteur sur l’excitation sexuelle. Certaines femmes peuvent également être plus réactives au stimuli du clitoris lorsqu’elles sont clitoridiennes. En cas de trouble sexuel chronique, elles peuvent s’adresser à un gynécologue.  Si la sexualité féminine est souvent jugée complexe, il existe des habitudes à adopter pour mener une femme vers la jouissance.

lundi 26 avril 2021


Certains facteurs scientifiques expliqueraient pourquoi les hommes ont continuellement besoin de se toucher les parties intimes, les mains dans les sous-vêtements, en privé comme en public… On vous dit tout sur ce penchant typiquement masculin !

1. Un instinct de protection pour ses bijoux de famille !

Un homme place instinctivement ses mains sur ses parties intimes pour se protéger d’éventuels dangers extérieurs. Selon Vanessa Van Edwards qui a étudié ce comportement dans son ouvrage intitulé Human Lie Detection and Body Language 101 : Your Guide to reading peoples nonverbal behavior, les hommes ne mettent pas les mains à leurs parties intimes quand ils se sentent à l’aise, détendus et qu’ils estiment que leurs organes sont hors de danger. À l’inverse, les joueurs de baseball réajustent constamment leur coquille de protection par prudence…

2. Un effet relaxant

Selon une étude US publiée dans la revue Frontiers in psychology, l’action de frotter certaines parties du corps de façon non-érotique libère la sécrétion d’ocytocine, une hormone apaisante, qui régule l’humeur… D’où le fait que certains hommes plus anxieux que la normale touchent leurs parties intimes de manière plus répétée.

3. Une démonstration de force

Dans un contexte de rivalité typiquement masculine, quand un homme se touche les parties intimes, cela peut signifier qu’il est dans un rapport de force inconscient où il essaie d’établir un lien de domination avec son interlocuteur. En somme, il s’agit d’une manière comme une autre de marquer son territoire, et sa virilité.


« 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗼𝗹, 𝗱’𝗮𝗴𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗲𝘅𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 »

Comme le soutient le célèbre auteur américain John Gray, les hommes viennent de Mars et les femmes viennent de Vénus. En effet, la gent masculine est généralement orientée “logique” et “pratique”, alors que leurs homologues féminines sont plus axées sur la créativité et l’expression de leurs émotions. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel ou même sexuel, des différences subsistent entre les deux sexes. Pourquoi certains hommes enlèvent-ils leur préservatif pendant un rapport sexuel ? Découvrez la réponse.

On sait que la sexualité tient un rôle important au sein d’un couple. Mais alors que pour l’homme, le plaisir sexuel est souvent mécanique, la femme a parfois du mal à y trouver son compte. Nombreuses sont celles qui considèrent que la sexualité ne se réduit pas seulement à un rapport physique mais qu’elle implique un ensemble de sentiments, de pensées et de gestes affectifs. D’un autre côté, les hommes rechignent souvent à mettre un préservatif ou à le garder pendant le rapport sexuel. Pour certaines femmes, ce refus de garder cette mesure de protection peut s’apparenter à un véritable crime sexuel à part entière. Dans une interview accordée à l’émission Hack, un homme lève le voile sur ce mystère. 

Le “stealthing”, une forme d’abus sexuel 

Alexandra Brodsky, une juriste américaine, a été la première à dénoncer le « stealthing », en français “furtivement” ou “discrètement”. Cette tendance horrifiante se définit comme le fait de retirer volontairement et sans l’accord du partenaire, le préservatif, pendant un rapport sexuel, indique France Soir. De nombreuses femmes ont expérimenté ce phénomène et ont enduré doutes, questionnements et craintes. Sans savoir si l’on peut appeler ça un “viol”, “une agression sexuelle”, elles réalisent que cet acte revêt une sorte d’égoïsme et d’indifférence. D’après une étude publiée dans le Columbia Journal of Gender and Law, le ‘“stealthing” est un abus sexuel grave. “La pénétration sans consentement est un viol”, affirme Cristina Garcia, une politicienne américaine.

Le retrait du préservatif par surprise – Source : Marieclaire

Un homme révèle la raison pour laquelle il retire son préservatif

Interrogé par Tom Tilley, journaliste, un homme prénommé Brendan explique pourquoi il refuse de porter un préservatif pendant toute la durée d’un rapport sexuel. “C’est bien mieux sans préservatif”, allègue-t-il. Pour lui, l’homme peut se contrôler et se retirer à temps pour éviter une grossesse non planifiée. En sus, il est convaincu qu’il n’a pas d’IST et admet courir un risque en changeant de partenaire. Lorsqu’il a été interrogé sur sa technique de « stealthing”, Brendan a répondu qu’elle passait souvent inaperçue. Ses partenaires ne se rendent pas toujours compte qu’il retire son préservatif pendant le rapport sexuel. “J’en mets un et si rien n’est dit, je l’enlève. Je ne pense pas que cela enfreint la loi”, assure-t-il. Par ailleurs, l’homme semble convaincu que le fait de retirer son préservatif en plein acte sexuel n’est pas un comportement inapproprié. “J’ai plus peur de contracter une IST que de me faire prendre par un avocat pour fraude lorsque j’ai des relations sexuelles et que j’enlève un préservatif”, déclare-t-il. 

Les hommes, moins préoccupés par les risques encourus

Alors que certaines femmes ont du mal à avoir un orgasme, les hommes sont généralement plus à même d’aboutir à la jouissance lors de la pénétration. Ces derniers accordent alors une importance capitale à cet acte et l’anticipation de l’orgasme peut leur faire oublier les risques liés à un mauvais usage du préservatif. Par ailleurs, nombreux sont les hommes qui affirment que les sensations ressenties durant l’acte sont bien plus intenses en l’absence d’un préservatif. Mais malheureusement, ce bref moment de plaisir peut déboucher sur des conséquences de taille. En effet, grossesses non désirées et infections ou maladies sexuellement transmissibles sont autant de risques que l’on prend durant un rapport sexuel non protégé.  Sans oublier que le consentement est un point crucial pour toute pratique lors d’une relation sexuelle.


Avoir une vie sexuelle satisfaisante participe à l’équilibre d’un couple. En effet, les étreintes, les baisers et le corps à corps charnel qui surviennent lors d’un rapport sexuel favorisent la connexion psychique entre deux partenaires. Toutefois, chaque personne a ses propres attentes, émotions et besoins en termes de sexualité. Si vous vous demandez quel est le rythme idéal pour faire l'amour, on vous dit tout.

On dit souvent que le sexe est le ciment du couple et qu’il renforce le lien qui unit deux partenaires. Mais alors que certains couples préfèrent espacer leurs moments d’intimité pour les rendre plus torrides, d’autres privilégient un rythme soutenu en espérant entretenir la flamme. Là encore, les données varient en fonction de plusieurs facteurs. 

Quelle est la fréquence moyenne des rapports sexuels ?

Selon Sandra Saint-Aimé, sexologue clinicienne et thérapeute de couple, les statistiques évoquent en moyenne “2,6 rapports sexuels par semaine en moyenne, soit entre 2 et 3 rapports par semaine”. Pour autant, ces chiffres ne sont pas parfaitement représentatifs de la norme car d’une part, ils peuvent varier selon les pays, d’autre part, les personnes sondées peuvent également amplifier volontairement la fréquence de leurs rapports sexuels. 

De manière générale, la sexologue considère que ce n’est pas réellement le chiffre qui compte mais la raison pour laquelle la question se pose. Très souvent, c’est “parce que l’on cherche à se rassurer. Peut-être aussi parce qu’au final on ne se sent pas très au clair avec la place que l’on donne à nos propres besoins sexuels”, poursuit-elle. Le plus important est donc de veiller à ce que ce moment soit partagé par les deux partenaires, explique l’experte, de manière à ce que chacun d’entre eux donne mais reçoive aussi du plaisir durant ce rapport physique. De ce fait, la fréquence à laquelle les couples font l’amour se calque naturellement sur celle où ils s’octroient le droit de s’ouvrir à la satisfaction sexuelle.

La fréquence varie selon les couples – Source : Skynews

Combien de fois peut-on faire l’amour par jour ?

Si les moyennes des rapports sexuels dans un couple se comptent plutôt en fréquence hebdomadaire, il existe certains cas où la moyenne est quotidienne. D’après le Dr Marie Veluire, gynécologue obstétricienne et sexologue, “certains couples sont très heureux en faisant l’amour deux fois le matin et deux fois le soir, d’autres une fois par mois !”. Ce chiffre peut aussi dépendre de plusieurs facteurs, dont la libido, le désir sexuel, les obligations du quotidien, le fait d’avoir des enfants en bas âge, les rapports conjugaux que l’on entretient avec son/sa partenaire ou encore notre rapport au sexe. 

Héline Zabeau, psychologue et sexologue interrogée par Femmes D’aujourd’hui explique qu’ “il y n’a pas une bonne fréquence en tant que telle, il y a la fréquence de chaque couple”. Dans ce sens, les rapports amoureux et le fait d’avoir une vie sexuelle active ou non restent propres à chacun et à ce qui favorise leur épanouissement. Par ailleurs, l’activité sexuelle peut également être exacerbée en raison de facteurs sous-jacents tels que l’hypersexualité qui traduit en réalité une addiction au sexe. Cela peut donc se matérialiser par une masturbation excessive, pouvant dépasser 10 à 15 fois par jour ou un coït frénétique, qui peuvent être pris en charge par des spécialistes en psychothérapie comportementale ou par des services d’addictologie, ajoute le Dr Veluire.

Les relations sexuelles ne sont pas toujours régulières – Source : Business Insider

À quelle fréquence les couples mariés font-ils l’amour ?

Selon une recherche de l’institut Kinsey portant la fréquence des relations sexuelles par an, la reproduction et le sexe, les scientifiques ont observé que les données de la première dépendaient généralement de l’âge des partenaires au sein du couple. Ainsi, si la moyenne était un peu plus élevée que deux fois par semaine pour les 18-29 ans, soit 122 fois par an, la cadence avait tendance à diminuer pour les trentenaires, avec une moyenne de 86 rapports sur l’année. Un chiffre qui baisse encore pour les quarantenaires, avec 86 à 69 ébats intimes annuellement. 

Pour autant et contrairement à ce que l’on pourrait croire, prendre de l’âge n’implique pas systématiquement une diminution de la fréquence des rapports sexuels. Et pour cause, chaque couple est unique, sans oublier que la quantité ne remplace pas la qualité de ces moments intimes, rappelle le Dr Zabeau. En outre, avoir des relations sexuelles ne se limite pas qu’à la pénétration durant l’acte mais englobe une myriade d’éléments tels que la tendresse et le rapport à la sexualité qui ont toute leur importance dans ces relations charnelles. couple.jpgLégende : Vie sexuelle épanouie – Source : Indy100

Comment avoir une vie sexuelle épanouie ?

Vous l’aurez compris, il ne s’agit pas forcément de faire l’amour plus souvent, car ce n’est pas la fréquence qui compte ou la performance qui déterminent si vous avez une “sexualité normale”. La notion de normalité n’étant pas applicable dans le cadre amoureux. En revanche, il existe certaines mesures qui peuvent favoriser l’entente entre hommes et femmes au niveau de l’intimité sexuelle et de ce fait, augmenter l’excitation et indirectement la fréquence de ces rapports intimes. En effet, il existe de nombreux facteurs pouvant entraîner une diminution du désir ou de la libido, ce qui peut donner lieu à des périodes d’abstinence forcée où l’on parvient difficilement à considérer le sexe comme une priorité. Travail, stress, famille, enfants…autant d’éléments à prendre en compte lorsqu’un couple fait l’amour moins souvent. Dans ce sens, il peut être utile de consacrer plus de temps aux moments à deux, la complicité et la communication étant les mots d’ordre pour entretenir des relations épanouies. 

Vous pouvez également pimenter vos ébats et y introduire de nouvelles pratiques sexuelles à découvrir ensemble. Fellation, cunnilingus, caresses érotiques, autant de préliminaires qui peuvent accélérer la lubrification de la femme et attiser l’excitation de son partenaire. Au moment de passer sous la couette, vous pouvez également essayer une stimulation simultanée du pénis et du clitoris pour explorer l’orgasme en tandem. Pendant l’acte, vous pouvez favoriser l’éveil érotique des sens en vous attardant sur les zones érogènes de l’autre. Cela peut non seulement contribuer à ressentir un désir plus intense mais aussi à faire durer le plaisir pour un moment de qualité. 

La franchise et l’ouverture d’esprit sont des valeurs clés

Avant de vous pencher sur la fréquence de vos rapports, essayez d’évaluer votre degré d’intimité avec votre partenaire. Y a-t-il des désirs ou des fantasmes dont vous n’osez pas parler ? Y a-t-il des questions sexuelles qui vous intriguent ? Percevez-vous le rapport amoureux de la même manière ? N’hésitez pas à explorer toutes les voies qui pourraient constituer un frein à votre plaisir pendant l’acte amoureux. En effet, il est indispensable d’entretenir des rapports de confiance avec son/sa partenaire.

Cela implique des discussions sans tabou pour faire savoir à l’autre notre manière de percevoir la sexualité, et cela est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit de refaire l’amour avec un nouveau partenaire sexuel. Souvenez-vous que ce n’est pas le nombre de rapports qui importe mais votre ressenti durant ce moment privilégié que l’on partage à deux. 

Veillez également à préserver votre santé sexuelle en consultant si besoin un professionnel de santé. L’absence de relations sexuelles peut parfois être liée à des troubles tels que l’éjaculation précoce, la dysfonction érectile, des rapports douloureux avec ou sans saignements, ou la sécheresse vaginale qui empêche la pénétration. De ce fait, un spécialiste sera plus à même de vous indiquer la marche à suivre pour y remédier. La ménopause est également une phase qui peut induire certains changements physiologiques chez la femme, d’où l’importance de connaître ses premiers symptômes. 

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